Les traitements médicaux

Le premier symptôme de la sciatalgie est la douleur. Et c’est cette douleur qu’il faut traiter avec des médicaments. Habituellement, les médecins prescrivent des antalgiques pour soulager la sciatique. Ces antalgiques peuvent être des décontracturants, des anti-inflammatoires ou des antalgiques de classe III. Parmi ces médicaments, on peut par exemple citer le paracétamol, l’ibuprofène et l’aspirine. Pour les douleurs rebelles, ils peuvent recommander des infiltrations de corticoïdes.

La kinésithérapie ou la physiothérapie

Pour les personnes souffrant de sciatalgie de plus de 6 mois, des séances chez un kinésithérapeute peuvent s’avérer être efficaces pour soulager les douleurs liées à la sciatique. Durant ces séances, le physiothérapeute donne des exercices d’étirements et des renforcements musculaires pour soigner le patient. Il peut également faire des massages qui ont pour but non seulement de soulager la douleur, mais aussi pour corriger la mauvaise posture du patient.

L’opération chirurgicale

La chirurgie n’est envisageable dans le traitement de la sciatique que lorsque les autres méthodes n’ont pas abouti, ou que les symptômes de la sciatalgie s’aggravent. Une opération chirurgicale pour la sciatique a pour but de soulager rapidement la racine nerveuse de la compression exercée sur lui. Elle peut être pratique par deux façons, soit par l’élimination par voie percutanée du fragment de disque gênant. Soit par l’extraction chirurgicale du fragment de disque faisant hernie.

Comment fonctionne un appareil auditif ?

De nos jours, presque tous les appareils auditifs sont numériques. L’appareil capte les sons grâce à un micro, il les traite et les amplifie avec l’aide d’un microprocesseur. Les sons sont ensuite reçus par l’oreille avec l’écouteur. Actuellement, des appareils sont capables de distinguer les niveaux de sons : grave, médium et aigu et qui sont amplifiés différemment selon le degré de perte de l’acuité auditive. Certains appareils sont munis de programmes préréglés qui sont capables d’analyser l’environnement sonore et de régler automatiquement les sons. Il y en a même qui sont équipés d’une connexion bluetooth et qui incluent différentes options pour la qualité du son, la parole, l’écoute globale et la localisation.

Un constructeur spécialisé dans la technologie auditive, la marque Phonak, propose une multitude de gammes d’appareils auditifs que vous pouvez trouver sur le site www.maison-appareil-auditif.be/appareil-auditif/phonak. Par ailleurs, il a mis au point une nouvelle puce pour une meilleure qualité de son. Les appareils auditifs Phonak ont toujours eu comme priorité d’être bien construits, solides, résistants à la poussière et à l’eau et donc à la transpiration.

Qui doit prescrire un appareil auditif et quand le porter ?

Pour bénéficier d’une prise en charge, un appareil auditif doit être prescrit par un médecin, de préférence par un médecin ORL, mais un médecin généraliste peut également le faire avec le résultat de l’audiogramme à l’appui. Le médecin est ensuite relayé par un audioprothésiste qui assure la mise en place d’un appareillage auditif adapté. Il faut choisir un audioprothésiste de confiance et proche de chez soi car vous devez subir de multiples contrôles pendant la phase d’adaptation de l’appareil.

L’appareillage est recommandé à partir d’une perte auditive de 30 dB. Il serait toujours mieux de s’en équiper sans trop tarder, tant que le cerveau reste encore capable d’interpréter les sons transmis par l’oreille et que la compréhension n’est pas encore affectée.

La kinésithérapie

Cette méthode thérapeutique se subdivise en plusieurs spécialités. Il peut s’agir de soins dispensés à un enfant de bas âge, il est alors identifié comme la kiné respiratoire. Pour les femmes enceintes, la kinésithérapie est utilisée en soin prénatal mais aussi en rééducation post-natale, on l’appelle alors la kiné périnatale. Pour les sportifs de tous les niveaux, la kiné devient une solution pour différents maux comme les foulures, la fracture et l’entorse. Là aussi, la rééducation fait partie du lot des prises en charge.
Les soins dispensés en kinésithérapie sont nombreux et diversifiés. On fait appel à la kinésithérapie pour soulager, soigner ou prévenir un mal localisé. Une foulure au poignet, consultez un kiné qui vous donnera les soins nécessaires.

L’ostéopathie

La prise en charge en ostéopathie est légèrement différente de celle de la consœur. Son intervention n’est pas localisée. Cette médecine douce préconise le réveil du corps dans son ensemble et l’incite à s’auto-guérir.
Cette méthode agit sur le système osseux à travers les articulations et les muscles. Le système viscéral et crânien sont également des sphères d’action de l’ostéopathie.

Différence et ressemblance

Les points communs

Les deux techniques utilisent la main pour soigner.
Les deux techniques sont complémentaires.
Ces deux techniques sont toutes les deux aussi préventives que curatives.
Elles sont destinées toutes les deux à soulager les maux au niveau de l’or et des muscles.

Les différences

Les soins en kinésithérapie se concentrent sur une zone à traiter alors que l’ostéopathie base son intervention sur le corps en entier.
La kinésithérapie est pratiquée en milieu hospitalier pour compléter les soins qui y sont déjà effectués. L’ostéopathie par contre n’est pas encore à ce stade.
Un traitement en kinésithérapie peut s’étaler sur plusieurs séances, mais ce n’est pas le cas de l’ostéopathie qui peut être pratiquée en une seule séance.

Ne négligez pas les visites chez le dentiste !

Tout comme la négligence face à une égratignure, la majorité des gens pense que les maux de dents peuvent s’estomper en quelques minutes. Pourtant, une simple écharde est capable de gêner, au point d’en souffrir. Il en est de même pour une carie qui, au bout de quelques jours, vous enlève totalement le sommeil. Les habitudes de se brosser les dents trois fois par jour, d’éviter de manger excessivement des aliments acides ou trop sucrés permettent de maintenir un confort optimal.

Il est temps de combattre la peur !

Homme, femme, enfant, tout le monde a peur du dentiste. Ce n’est pas pour rien qu’on a inventé l’expression “mentir comme un arracheur de dent”. Ce sentiment est normal puisque le corps et le cerveau agissent en connaissance de ce qui va arriver. Tout le monde est d’accord sur le fait que la douleur devient plus intense, et que les nerfs se tendent, même sur le fait de savoir que l’on va entrer dans le cabinet. Pourtant, combattre cette frayeur est nécessaire pour votre bien. Soyez plus courageux et dites-vous que c’est pour rester en bonne santé. De toute façon, les visites médicales sont moins stressantes lorsque l’on sait que c’est pour la bonne cause.

Commencez par les tout petits

Dès le plus jeune âge, apprenez à vos enfants l’importance des soins dentaires. Pour qu’ils arrêtent d’avoir peur des dentistes. Emmenez-les pour des soins buccaux une fois par année. Pour un blanchiment des dents, remplir les trous ou enlever les dents cariées, ces soins dentaires sont importants pour la santé buccale et globale de votre enfant.